Un rapport récemment publié par l’ESRC (Economic and Social Research Council) montre qu’au Royaume Uni, le nombre de condamnations pour viol diminue dans les cas où la victime était ivre au moment des faits. Autrement dit, une femme qui a bu est responsable si elle se fait violer. Pour Jennifer Tempkin, interviewée par The Guardian, ce sont les jurés mâles qui reprochent aux femmes la violence exercée à leur encontre par les hommes.
Sources (transmises par GSN) : ESRC et Guardian Unlimited