En Azerbaïdjan, c’est, paradoxalement, le fait d’être victime de violences domestiques qui conduit le plus grand nombre de femmes en prison. Faut de structures adaptées qui leurs permettraient d’être protégées et de pouvoir porter plainte, 80% des 264 femmes emprisonnées le sont pour avoir tué ou sérieusement blessé leur conjoint et avoir ainsi voulu mettre fin à leur calvaire.
Source : www.trend.az