Début, août, des Pro-lifes sud-africains ont fait pression sur le Parlement afin qu’il change la loi en vigueur sur l’avortement (aujourd’hui légal et sans restriction). Leur objectif : autoriser les infirmières à refuser d’effectuer une IVG pour raisons morales et religieuses. Les anti-avortements tentent également de changer la loi afin d’obtenir l’obligation du consentement parental pour des mineures. Fort heureusement, il semblerait que le responsable du Comité parlementaire sur la santé estime peu probable un tel changement de loi d’autant que le Parlement s’oriente au contraire vers plus de permissivité : autoriser les infirmières et les sages-femmes à pratiquer les avortements, donner les moyens aux services de santé d’intervenir 24h sur 24, dans la limite des 12 semaines de grossesse.
Source : Feminist Daily News Wire