Le président Jorge Sampaio a accordé un "pardon de Noël" à une infirmière ayant écopé de huit ans et demi d’emprisonnement pour avoir pratiqué des avortements clandestins. Elle y était depuis février 2000 ! Au Portugal, le débat sur les lois restrictives en vigueur a été ravivé par un récent procès.
Source : Bulletin ASTRA