Dans le Sud du Kirghiztan, la pauvreté et le chômage sont les principales raisons de l’augmentation de la prostitution. Comme la prostitution est illégale au Kighiztan, il n’y a pas de statistiques fiables du nombre de prostituées. En 1998, Natalia Shumskaya, la directrice d’une ONG locale appelée Podruga avait des contacts avec seulement 12 d’entre elles, quand maintenant elle travaille avec près de 250 femmes. Il y a quelques années, on estimait que 20 % des prostituées travaillaient pour « le compte d’autrui » et 80% étaient indépendantes. Ce pourcentage s’est aujourd’hui inversé.
Source : PUSH Journal, 13.11.2003 – Bulletin Astra