Une enquête de la California National Organization for Women met en évidence de nombreux cas de pères jouissant encore de leur droit de garde après avoir été accusés, voire convaincus de violences et/ou d’abus sexuels. Pour le groupe, la conclusion s’impose : il faut revoir les lois de la famille, exiger de nombreux juges qu’ils ne se laissent pas aveugler par leur sexisme.
Source : Women eNews