Ce manifeste de Beatriz Preciado, philosophe, s’inscrit dans une réflexion sur le féminisme moderne, le " matérialiste " et les recherches et études sur le genre. Héritière de Foucault et Deleuze, l’auteure opère une relecture de la sexualité par la pratique du " gode " et la logique du " trou ". Elle écrit les principes d’une société contra-sexuée en 13 articles qui décrètent dans son article 1er l’abolition des dénominations " masculin " et " féminin ". De quoi alimenter les conversations de comptoir...
Edts Balland, Collection Modernes, 160p, avril 2000