Un groupe d’organisations civiles et de l’état de Guatemala a permis la création d’une loi pour que le harcèlement sexuel soit qualifié de délit. Consuelo Cabrera, membre de la Commission Nationale des Droits de la femme Indigène a lancé l’initiative. Les peines pour ce délit seraient de 1 à 4 ans de prison, ou bien sous forme d’amendes. Ces peines répondent aux résultats d’une enquête déjà menée auprès des organisations de femmes. Une lutte active contre le harcèlement sexuel s’inscrit dans le respect des accords signés par le Guatemala à l’international, notamment les accords de paix.