Au Congo, des centaines de milliers de femmes ont été violées par les militaires, les rebelles et les militants ethniques lors de la dernière décennie.
L’ampleur de ce désastre est devenue particulièrement évidente au cours des derniers mois en raison de la cessation des combats qui a permis aux victimes de se manifester et aux membres d’associations humanitaires d’accéder aux régions les plus reculées.
Le viol est devenu une arme de guerre pour punir les populations de leur loyauté à telle ou telle partie ou pour procéder à un « nettoyage » ethnique. Les militant-e-s des droits humains réclament que les responsables des différents groupes concernés soient traduits devant le tribunal de La Haye.
Source : The guardian