Tandis que la « communauté internationale » s’émeut d’un conflit qui dure depuis plus de trois ans, les agressions sexuelles contre les femmes déplacées s’intensifient. La dégradation croissante de leurs conditions de vie dans les camps les expose quotidiennement au danger : c’est en allant chercher du bois à brûler dans la brousse à des kilomètres de distance, qu’elles sont attaquées, battues, violées. Parce que, malgré les centaines de témoignages, aucune protection ne leur est offerte.
Source : GSN