Entre 1971 et 2003, plus de 500 femmes aborigènes ont disparu dans tout le Canada, certaines ont été assassinées, les autres sont simplement portées disparues. Une grande partie d’entre elles étaient des toxicomanes et des prostituées. La police assure qu’elle fait son possible pour élucider ces mystères mais d’après l’association NWAC (Native Women’s Association of Canada), davantage pourrait être fait. Un rapport de 1996 a montré que les femmes aborigènes avaient cinq fois plus de chances que les autres Canadiennes de mourir à la suite de violences. La marginalisation sociale et économique des aborigènes rend ces femmes extrêmement vulnérables aux exploitations en tous genres et à la violence.
Source : The Epoch Times