Alors que les billets étaient déjà en vente, le gouvernement ougandais a interdit la pièce de théâtre les Monologues du vagin, à cause du titre qui représenterait une menace pour la morale de la société. Une déception pour beaucoup de femmes, une douche froide pour les militantes. Elles comptaient sur cette pièce pour sensibiliser sur les violences faites aux femmes. Cette censure reflète que malgré des apparences trompeuses - une constitution assez favorable, 30% d’élues au parlement - les traditions discriminatoires, les mutilations génitales et autres violences ont la vie dure et imprègnent encore tout le pays.
Source : Women’s Media Pool