Le recyclage de tissu ou de papier fournit aux artisanes des matériaux gratuits, une condition souvent sine qua non pour ouvrir un atelier. Mais nécessité a ici fait joie ! Des créations pleines de fantaisie en témoignent.
Etre femme et Afro-brésilienne, c’est cumuler les discriminations. Pour ces démunies parmi les démunies, l’économie solidaire est une porte ouverte sur un avenir meilleur.
Une des bases de l’économie solidaire, c’est de permettre à chacun-e de valoriser ses compétences, et d’en acquérir de nouvelles, transmises par ses compagnes. Les femmes peuvent ainsi tirer de leurs travaux traditionnellement invisibles et gratuits (couture, tricot, cuisine...), une source de revenus... et de fierté.
L’association Ile Mulher poursuit un projet ambitieux : mettre les TICs au service des femmes de l’économie solidaire. Elle organise des formations, où après avoir aidé les femmes à dépasser la peur de la technique, elle leur apprend à l’utiliser pour leur communication.
La première partie de l’atelier sur l’utilisation des logiciels libres par les femmes de l’économie solidaire (organisé par les Pénélopes, Lua Nova, Ile Mulher, Abong et Coordination Sud), s’est terminé en chanson.