Déjà peu représentées dans le gouvernement devant conduire la République Démocratique du Congo aux élections (7 femmes sur 61 membres), les femmes craignent d’être à nouveau "flouées" dans la mise en place de la Territoriale. Rassemblées dans une plate-forme "Cause Commune", elles ont rédigées une lettre "Alerte" aux hommes responsables des composantes issues du dialogue intercongolais. Elles rappellent l’article de la constitution de transition qui stipule "la femme a droit à une représentativité significative...". Plutôt que ce terme ambigu, elles exigent une représentativité quantitative.
Source : Aurélie Mupepe