Le Brésil devait déposer à l’Onu une résolution "droits de la personne et orientation sexuelle", qui devait condamner les discriminations fondées sur l’orientation sexuelle et l’identité de genre. Et voilà que le projet a été retiré suite aux pressions du Vatican. Que l’Etat papal siège à l’ONU est déjà en soi contestable. Mais qu’il y impose ses convictions sexistes, homophobes et transphobes, ça dépasse les bornes. Qu’attend l’Union européenne pour réagir ?
Source : Act up - Paris