Dans un rapport accablant intitulé " Des survivantes parlent ", publié le 16 avril dernier par Citizens’ Initiative, on apprend que des femmes musulmanes vivant dans les camps de réfugiés indiens ont non seulement connu les pires formes de violences sexuelles – viol, viol collectif, extraction du fœtus en gestation, insertion d’objets à l’intérieur de leurs corps…- mais ont systématiquement été brûlées vives. Et d’expliquer l’origine de telles horreurs : la négation de l’Autre, considéré comme un non-être, avec la complicité de la police et le nécessaire contrôle de la sexualité féminine, source des pires maux ! Ce qui fait de ce très grand Etat, un pays de violeurs impunis…
Source : Hindu