Il paraît évident que le féminisme est un sujet transversal par rapport aux disciplines traditionnelles enseignées à l’université. On ne peut réduire la problématique du genre à une étude sociale ou économique. Depuis les années 70 cependant, l’interdisciplinarité n’a pas progressé. Ce numéro des NQF étudie la situation et tente d’expliquer les causes de cette stagnation.
http://www.unil.ch/liege/nqf