Période noire pour la liberté de la presse en Afrique. Au Maroc trois journalistes ont été condamnés à des peines de prisons de 1 mois et 2 ans pour manque de respect au roi. En Algérie, c’est pour offense au chef de l’état que le quotidien Liberté, son éditeur et un journaliste ont été condamnés à de lourdes amendes. En Guinée Equatoriale, un journaliste a été arrêté. Trois journalistes d’une radio privée au Mali ont passé trois semaines en prison avant d’être remis en liberté provisoire le 18 novembre. Et au Zimbabwe, le seul quotidien indépendant, le Daily News, résiste au harcèlement du gouvernement : fermetures, arrestations et procès se succèdent.
Source : Mail and Guardian Online et AFP