Le gouvernement dominicain a validé une loi qui punit (enfin !) le trafic et la marchandisation des personnes (entrent aussi en compte les trafics destinés à la prostitution, la pornographie ou l’exploitation sexuelle). Cette disposition établit des peines de cinq à quinze ans de prison et des amendes de 150 à 250 SMIC aux responsables de trafic d’êtres humains et à ceux et celles qui produisent et falsifient des pièces d’identité à ces fins.
Source : Mujeres hoy