Les Etats-Unis ont récemment refusé d’accorder l’asile à une ressortissante chinoise. Cette dernière avait dû subir un contrôle de grossesse forcé suite à sa prise de position condamnant la politique de restriction des naissances en Chine. Mais la Cour a estimé qu’un examen médical ne constituait pas une persécution !
Cet exemple montre à nouveau, la nécessité d’avoir des normes internationales spécifiques aux femmes demandeuses d’asile pour des raisons liées au fait qu’elles soient femmes. Amnesty International demande en effet, si un tel examen, exécuté sans l’accord de la personne concernée n’est pas assimilable à un viol infligé comme moyen de torture réprimandant l’exercice du droit à la liberté d’expression et d’opinion
Source : Amnesty International Belgique francophone
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